OUAGADOUGOU, 05 septembre 2022 - 01H06 GMT [ALERTE INFO]-
"Les exécutions sommaires et extrajudiciaires" des civils dans des zones confrontées aux attaques des groupes armés terroristes, "ne rendent pas service" à l’armée burkinabè, car elles sont des "facteurs d’aggravation" de la crise sécuritaire qui sévit dans le pays depuis 2015, a indiqué Dr Daouda Diallo, secrétaire général du Collectif contre l’impunité et la stigmatisation des communautés (CISC), une organisation créée au lendemain du massacre de Yirgou le 1er janvier 2019, dans une interview à ALERTE INFO.
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